Aller au contenu

Visiter la Triennale de Setouchi accompagnés ?

 

Teshima Art Museum
Teshima Art Museum

 

Je me demandais…

Et du coup, je vous demande à vous, fidèles lecteurs (et aussi ceux qui passent ici par hasard en cherchant des renseignements sur la Triennale de Setouchi 2016), seriez-vous intéressés, si vous avez l’intention de venir visiter la Triennale de Setouchi, par un service d’accompagnement ?

Comme vous le savez, je quitte mon emploi actuel très prochainement, et même si j’aime toujours autant l’enseignement, j’aime encore plus les îles de Setouchi. Je me disais que ce ne serait peut-être pas complètement une mauvaise idée si je pouvais joindre l’utile à l’agréable et devenir accompagnateur pour quiconque souhaite visiter la région – pendant la triennale ou pas – mais qui hésite un peu à le faire seul(e), parce qu’il est parfois difficile de s’y retrouver sans parler la langue et sans bien connaître le lieu, ou bien parce qu’on ne veut pas perdre de temps, ou pour quelle qu’autre raison que ce soit. Pas vraiment un guide (le métier est très codifié au Japon et il m’est inaccessible), mais un accompagnateur, un « facilitateur de visite. » Le terme anglophone est habituellement « concierge » mais vous comprendrez pourquoi je ne l’utilise pas ici. 😉

Serait-ce quelque chose qui vous intéresserait ?

Bien entendu reste à voir les modalités : quels services proposer (qu’attendriez-vous de la chose ?), à quels tarifs (pas exubérants pour essayer de rester à la portée de tous, mais le but reste quand même, sinon d’en vivre, au moins d’arrondir les fins de mois avec) ?

Bref, qu’en pensez-vous ? Et si ça vous intéresse, de quelle(s) sorte(s) de services proposés souhaiteriez-vous profiter ?

J’ai déjà quelques idées en tête, mais je voudrais avoir votre avis. Donc n’hésitez pas à inonder les commentaires avec celui-ci. 🙂

 

 

 

9 commentaires sur “Visiter la Triennale de Setouchi accompagnés ?”

  1. Owi owi owi !!!

    Perso, je commence à organiser ma venue et j’ai beaucoup de mal à savoir par quel bout m’y prend : combien de temps par île, les horaires de ferry…
    C’est donc surtout sur la partie pratique que je serai prête à payer, comme pour un voyage organisé par une agence. Sur place, après, je suis du genre à aimer faire les choses à mon rythme de tortue.

    Je veux bien te servir de cobaye pour la mise en place de ton activité, vu que je serai là peu après l’ouverture du festival.

    1. Tu veux dire : plus des infos pratiques à l’avance qu’un accompagnement ? J’y pensais aussi, mais je ne sais pas si j’aurais le temps de préparer ça (sous forme d’ebook par exemple) avant le début de la Triennale. C’est dans mes projets, mais sur le moyen terme.
      Ou alors une « assistance » par e-mail ? Mmm… Ça pourrait être une idée…

      1. Je ne suis pas une habituée des voyages organisés ou des accompagnements. Mes besoins (de l’ordre de l’organisation) sont probablement peu représentatifs. J’ai lu les autres commentaires. L’idée d’avoir un panel de circuits déjà prêt et modulable me semble pas mal. Par exemple, pour les personnes qui viennent 1, 3 ou 7 jours. Il y a aussi le blog « horizon du Japon » qui est aussi sur de l’accompagnement pour des safari photo à Osaka.

        En tout cas, tu fournis déjà beaucoup d’info sur ton site et c’est top pour préparer son voyage 🙂 Merci !

  2. est-ce très facile de trouver des tarifs pour une activité qui ne serait pas un métier tout en étant un??? perso, si je réalise le projet de venir au Japon, c’est pourtant bien cet accompagnement que je souhaiterais.

    1. La tarification est effectivement une grande inconnue. Il faut que ce soit assez bon marché pour ne pas faire fuir les clients potentiels, mais assez conséquent pour pouvoir en faire une activité (ou du moins un complément d’activité).
      Surtout qu’ici, à la différence d’un travail d’accompagnateur dans une ville, il y a des frais de ferries, d’entrée de musées, etc, à prendre en compte.

      Pour l’instant je réfléchis à plusieurs options, d’où mes questions.

  3. Allier travail et plaisir, c’est toujours bien plus motivant ! Alors si tu en as l’envie et/ou la possibilité : Fais-le !
    C’est une belle idée avoir un guide sur ce genre de sortie c’est toujours bien. D’autant plus que tu peux proposer des balades définies à l’avance par la durée (1/2 journée, la journée…). Mais aussi un programme à la carte où les sorties seront établies avec les clients selon leur envies.
    Tu connais sûrement les Tokyo safari (David Michaud and Co), ça peut être un bon point de départ. En ce qui les concernent leurs sorties sont vraiment accès photo mais tu peux aisément appliquer le concept à la Triennale.
    Tiens-nous au courant !

    1. Oui, je pense que je vais m’orienter vers un programme à la carte, vu que je n’aurais pas des foules de clients de toutes façons, un programme à la carte me semble plus logique qu’un programme « imposé » qui pourrait rebuter les rares clients potentiels.

      Je connais (très peu) le Tokyo Safari, mais comme tu dis, c’est assez basé sur la photographie je crois (il me semble que David Michaud est photographe à l’origine). Je lui loin d’avoir les compétences photographiques nécessaires pour faire quelque chose de similaire, et surtout je n’ai aucune envie de lui piquer le concept.
      Je pense plutôt me focaliser sur les choses dont je traite déjà ici : de beaux paysages certes, mais aussi l’art – bien entendu – et aussi la culture locale.

      1. J’ai peut-être mal formulé… je n’avais pas à l’esprit de piquer le concept du Tokyo Safari, c’était simplement pour t’inspirer les formules que tu pourrais proposer pour la Triennale et les alentours.
        Le fait d’accompagner les clients sur les sites d’art et/ou point de vue est super, et tu pourras apporter ton expérience de la vie locale et ton savoir sur la culture.
        C’est un beau projet.

        1. Oui, oui, n’ai crainte, j’ai regardé ce qui se faisait dans divers coin du pays (y compris les Japan Safaris) pour m’aider à avoir une idée plus ou moins claire de ce que je veux faire ou ne pas faire, surtout qu’en plus, on ne se ferait pas de concurrence, au contraire, il pourrait y avoir une certaine complémentarité.

Répondre à David Billa Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *