Ça y est, je redeviens un lapin blanc, puisque c’est avec une semaine de retard que je poste ces quelques mots pour vous annoncer que la période des matsuri d’automne a bel et bien débuté. Et comme chaque année, le premier matsuri (du moins, le premier sur lequel je tombe) est celui de mon quartier, le matsuri de Kumano-jinja à Takamatsu, qui se déroule chaque année le premier week-end d’octobre.
C’est un tout petit matsuri sans prétention, mais tout comme le sanctuaire dont il est dépend c’est aussi ce qui fait tout son charme.
Voici quelques photos pour vous donner une idée :
Bon sinon, si j’ai une semaine de retard pour ce petit article, c’est pas un hasard, je viens d’entrer dans une période très peu propice à l’écriture régulière de blogs. Non content d’avoir un nouveau né sur les bras (et une grande sœur qui s’adapte au fait de ne plus être fille unique), j’ai de la famille à la maison pendant deux semaines, et je débute un nouveau projet dont je vous parlerai bientôt… Bref, les moments où j’ai le temps d’écrire sans avoir l’esprit trop embrumé vont se faire rares pendant plusieurs semaines.
Je vais toutefois essayer de ne pas faire hiberner le blog (rien de pire qu’un blog qui hiberne), mais je sens que le rythme va ralentir un peu entre maintenant et disons décembre… On verra….
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Sympa ce petit reportage. C’est exactement ce que j’ai envie de voir au Japon. La vraie vie des gens avec leurs coutumes et leurs habitudes.
Et ne t’inquiètes pas pour ton blog, nous saurons attendre ton retour!
Oui, j’aimerais avoir plus souvent l’occasion de ce genre de reportages.
J’ai depuis un sacré moment (ça a commencé à germer il y a 5 ans!) une idée de projet qui devrait te plaire, mais je n’ai toujours pas pu le lancer comme je le voudrais, mais les étoiles vont peut-être s’aligner dans un jour plus proche qu’on ne pourrait le penser. 🙂
Effectivement. C’est une petite matsuri. Je dirais une matsuri familiale 🙂
On revoit le blog pour noël alors XD
En fait ce genre de matsuri est le plus fréquent, le matsuri de quartier (chaque sanctuaire ou presque ayant son matsuri), et du côté de chez moi, en octobre – période des moissons du riz – on en croise plusieurs par jour si on se balade un peu le week-end.
Sinon, je me permets de te corriger, matsuri est de genre masculin, comme tous les mots étrangers d’origine non latine quand on les intègre au français (en théorie, ils sont de genre neutre, mais ce genre a été absorbé par le masculin en français).
Et pas d’inquiétude, je reposterai bien avant Noël.
Ça doit être très sympa d’en voir autant en un week end.
Tu fais bien de me reprendre pour le matsuri. C’est par réflexe que je l’ai mis au féminin et je n’ai pas cherché à aller plus loin ^^’
Les blogueurs aussi ont besoin de repos, ne serait-ce que pour profiter des matsuri ^-^.
Si seulement c’était du repos… 😉
Ah l’automne, une saison aussi sympa et festive que le printemps et l’été ? Sûrement !
C’est en tous cas ça doit être bien agréable de participer à ce genre de matsuri, simple et convivial. Merci pour le partage.
Pas de soucis pour ton blog, tu sais que tes fidèles lecteurs patienteront jusqu’à la reprise du rythme de croisière 😉 Pas simple de voir la famille s’agrandir… Bon courage en tous cas.
L’automne au Japon est aussi sympa que le printemps et beaucoup plus que l’été.
Quant au côté festif, ça dépend des régions, sur le web on entend toujours parler des matsuri d’été, parce que Gion et d’autres à Tokyo qui doivent être certainement célèbre, mais chez moi, c’est l’automne que ça se passe.
Merci pour les mots d’encouragement. 🙂