Hier, je vous ai laissés en plan en plein milieu du Saijō Matsuri. J’avoue, c’était surtout pour ménager mon effet quant final dudit Matsuri.
D’ailleurs, je vous le livre de suite :
Impressionnant non ?
Je sais que quand on narre ses voyages on a parfois une tendance à l’abus de superlatifs, et si vous farfouillez dans ce blog vous verrez que je ne suis pas forcément en reste. Mais pour ce coup-ci, je pèse vraiment mes mots : ce Matsuri et surtout ce final dans la Kamogawa est vraiment une des expériences culturelles les plus intenses auxquelles il m’ait été donné d’assister… dans toute ma vie… au monde…
Je sais que quand on narre ses voyages on a parfois une tendance à l’abus de superlatifs, et si vous farfouillez dans ce blog vous verrez que je ne suis pas forcément en reste. Mais pour ce coup-ci, je pèse vraiment mes mots : ce Matsuri et surtout ce final dans la Kamogawa est vraiment une des expériences culturelles les plus intenses auxquelles il m’ait été donné d’assister… dans toute ma vie… au monde…
Voila, c’est dit.
Je terminerai en soulignant que nous avions là, plusieurs centaines de personnes dans l’eau (et plusieurs dizaines de milliers tout autour) très imbibées d’alcool pour la grosse majorité, portant des objets pesant plusieurs centaines de kilos, sur lesquels sont accrochées des lampes, dans un chaos le plus total, et ce sans qu’aucun accident ne survienne, sans aucune violence n’éclate, sans qu’aucun drame n’ait lieu…
Essayez d’imaginer ça en France ou bien d’autres pays…
Essayez d’imaginer ça en France ou bien d’autres pays…
Un dernière chose, si ce Matsuri vous a intéressé, je ne peux que vous conseiller de regarder cette vidéo filmée l’an dernier, qui non seulement ridiculisera mes piètres talents de vidéastes, mais surtout vous donnera une vision exceptionnelle du Festival…
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