Après Iwakuni, nous fîmes un bref arrêt à Yanai, petite ville sans histoire dont je ne sais rien sinon qu’elle possède un quartier, Shirakabe No Machi (prononcez: [shirakabé no matchi], littéralement « le quartier aux murs blancs ») dont les maisons, de style Edo pour la plupart, sont célèbres pour leur blancheur. Et effectivement, quand nous y sommes passés, un jour très ensoleillé, cette blancheur était éclatante. L’impression que cela me donnait était presque celle d’un village méditerranéen à l’heure de la sieste : les rues étaient très calmes en ce milieu d’après-midi, à peine quelques touristes, la plupart des Américains dont la présence s’explique certainement par la proximité de la base militaire d’Iwakuni (il y en avait aussi pas mal au Kintai-kyō).
Voila, c’est à peu près tout ce que j’ai à dire sur Yanai (il faut dire que nous y sommes restés à peine une heure, voire un peu moins).
Fabrique traditionnelle de Shōyu
La « spécialité » de Yanai : le Kingyo Chōchin (prononcez [kinguio tchohtchine]) qui, comme son nom l’indique, est un lampion-poisson rouge.
Dans la fabrique (les photos sont un peu ratées, mais elles méritent d’être gardées pour leur valeur informative)
Le moût de soja fermente deux ans dans ces cuves, l’odeur y était prenante mais délicieuse.
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